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Koalaventure

22 avril 2008

Ce n'est qu'un au revoir

Ca y est … Nous sommes de retour au Billabong, backpacker de Sydney, où nous avions déjà passé quelques jours avant notre périple.

C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons quitté notre petite ville chérie, Byron Bay… Mais reprenons les choses dans l’ordre.

La journée de Samedi a bien évidemment été consacrée à une pensée, encore inédite jusque là : « Phanou va se marier !! ». Nous regrettons de n’avoir eu que peu de feedbacks sur son déroulement, on prendra des nouvelles en rentrant. Quoiqu’il en soit, félicitations aux jeunes mariés !!

La journée de dimanche aurait du être celle du départ, mais un arrangement avec le manager du camping m’a permit de faire une surprise à Diane. A peine sorti du camping, nous faisons demi-tour et y retournons pour passer notre dernière soirée dans une « cabin » (un bungalow). Alors qu’un au revoir avait été parfaitement simulé (soirée de départ..), je vous laisse imaginer la surprise en entrant dans ce bungalow, qui nous faisait tellement envie les jours de pluie !!

S’en est suivie une soirée crêpe avec des canadiens adorables, rencontrés peu avant… Ils ont même amené un gâteau « Happy Birthday» (bougies incluses) et chanté la traditionnelle chanson. Inespéré d’avoir une soirée si chaleureuse, si loin de nos amis (coucou les amis) et famille.

Le lendemain, vrai départ, sous le soleil. C’est toujours l’anniversaire de Diane (et oui avec le décalage horaire), aussi nous profitons pour faire une halte dans un camping sauvage,  au bord d’une rivière. Un sympathique voisin nous a même confié des appâts pour pêcher : un steak de mouton (ça marche vraiment !!). Quelle joie de retourner à la nature : feu de camp, pêche et « champagne australien »(offert par les patrons, pour Diane)…

La journée d’aujourd’hui s’est passée sur la route, donc rien de passionnant, mais une réelle émotion à l’idée de quitter l’Australie. Tant de choses vues, de rencontres… Tant d’autres à faire !! Mais il faut savoir rentrer, même le cœur serré.

Nous revoici donc au Billabong, qui n’a bien sûr pas changé, excepté que personne n’ose se baigner dans la piscine qui doit désormais approcher les 16°.

Nous ne comptons pas pour autant nous reposer, nous devons vendre la voiture (pas une mince affaire) et avons quelques contacts à rencontrer. Nous sommes d’ailleurs invités demain soir à dîner chez la désormais célèbre Marie-Jo.

Merci à tous de votre participation à ce blog (les commentaires sont quand même essentiels)…

Diane tient d’ailleurs à remercier les auteurs des nombreux mails reçus pour son anniversaire. Ca lui a fait un immense plaisir.

Bien que ce mot sonne comme un au revoir, nous ne désespérons pas de trouver quelque chose d’intéressant à raconter, d’ici notre départ, le 4 mai.

En attendant, nous retrouvons de ce pas, nos lits superposés (tous les deux en haut, comme les grands) dans notre « dormitory » du Billabong.

Gros bisous à tous

PS : Nous tenterons un transfert de photo demain, n’hésitez pas à jeter un coup d’œil sur l’album

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31 mars 2008

onjour à tous, Nous revoici pour un nouveau post.

onjour à tous, Nous revoici pour un nouveau post. Tout d’abord, merci à tous ceux qui ont laissé un mot sur le post précédent : Violette,     , Florence, Aurore,     ... De toute évidence un non-dit persiste injustement: Diane et moi avons eu effectivement le plaisir d’être fiancés par le bon père Bertrand, le 28 Juillet 2007, à Bandolou sur Mer. Il s’agissait d’un évènement que nous jugions suffisamment intime pour ne l’accomplir qu’avec Bertrand, mais pas suffisamment pour ne pas en faire part. Voilà qui est fait. C’est d’ailleurs une bonne intro pour annoncer notre première participation à la vie catholique australienne. Je m’en vais évidemment vous décrire ces 45 minutes de cours collectif de liturgie anglophone. Nous nous sommes rendus hier à 18h, à l’une des deux messes hebdomadaires de la paroisse de Byron Bay (la seconde ayant lieu le dimanche à 7h du matin, autant dire qu’il faut beaucoup de foi pour y participer). Premier constat : une église en bois, moquettée orange (quand même) et éclairée au Néon (4 cercles concentriques de néon, ça surprend). Pour l’authenticité, on repassera…même si l’essentiel n’est pas là, nous mesurons l’importance d’un « décor » propice au recueillement. Deuxième constat frappant, alors que 90% de la population de Byron Bay semble avoir moins de 30 ans (les 5% restant ayant moins de 50 ans), nous découvrons le troisième âge de note petite ville chérie. Quelques familles (4 en réalité) traînant leurs enfants jusqu’au Seigneur, moyennant ce qui constitue le défaut essentiel de ce pays, le laxisme parental. Tandis qu’une petite fille de 7 ans, parade, barbouillée de rouge à lèvre, le reste des enfants, allongé par terre dessine aux crayons de couleur… La relève est ici aussi loin d’être assurée. A noter que parmi l’énorme (et je pèse mes mots) communauté internationale de jeunes présente à Byron Bay, aucun ne semble intéressé par se rendre à l’Eglise… Un peu décevant diront certains, tandis que d’autres prendront cela pour un mauvais présage pour la suite, à vous de voir… Concernant notre visite de Dieu à son domicile, elle débute par la remise d’un livre de chant et du mensuel diocésain (publicités pour pompes funèbres, dentiste et opticien incluses). Au chant, une mini chorale de trois personnes, accompagnée d’une batterie et d’un piano, le tout du meilleur effet. Le prêtre, écartelé entre trois paroisses, était tout ce qu’il y a de sympathique. Le plus frappant en fait était la similitude exacte avec une messe française (excepté la double quête), nous attendions un peu d’originalité pour cette version exotique, mais c’est as très grave. Voilà pour ce bref compte rendu… Le niveau était toutefois suffisamment convaincant pour que nous nous y rendions à nouveau la semaine prochaine. A moins que nous ne participions à la messe anglicane, à titre de comparaison entre l’héritage anglais et irlandais. Que le meilleur gagne. Pour les précisions sur notre condition au camping, nous sommes installés dans une tente 3 places, à l’ombre d’eucalyptus sur lesquels nous avons dressé notre bâche de compétition. Tout est parfait si ce n’est que les températures baissent régulièrement et les nuits deviennent réellement fraîches. Les journées restent belles, tout comme nos rencontres régulières. La dernière en date étant un couple avignonnais des plus sympathiques, avec lequel nous avons prévu de nous rendre à Whitesbeach cet après midi. Dernier fait marquant, alors que nous promenions délicieusement en direction de la plage, nous apercevons au bord de la voie ferrée désaffectée, un hangar entrouvert. A l’intérieur, une belle locomotive et un petit papy qui lui consacrait toute son attention. Evidemment (nos sommes devenus curieux depuis que nous sommes là) nous l’abordons au sujet de la locomotive, qui de toute évidence ne datait pas d’hier. Il s’agissait d’une locomotive anglaise de 1922, en retraite depuis seulement 25 ans, tout comme le petit papy qui s’est avéré en être le dernier conducteur (son père ayant été le premier). Nous tâcherons de joindre les photos que nous avons prises, je pense que c’est plus parlant. Le rêve du petit papy pilote étant bien sûr de monter un musée autour de ceci, à Byron Bay. Le projet disparaîtra malheureusement en même temps que lui. Encore une preuve que les petits papys sont la mémoire d’un pays, même s’il paraît tellement récent qu’on ne lui prêterait pas d’Histoire. Voilà, je vais conclure par une bonne journée à tous… Je précise que des photos sont en train d'être transférées sur l'album (Byron Bay, troisième suite).

25 mars 2008

Au camping "Glen Village"

Déjà une semaine que nous « woofons » pour le Glen villa Resort… A l’heure actuelle, je me prélasse pendant que ma chère fiancée se tue à la tâche. En effet, Diane s’est vue proposer quelques extras pour préparer le nettoyage des bungalows (enlever les draps, ouvrir les fenêtres, rien de bien méchant). Rien pour moi, car en tant que garçon, je suis censé être incapable de faire ça. Qui parle de discrimination à l’embauche pour les femmes ? Quand on dit qu’en Australie, tout est inversé… Bref, j’ai profité de cet instant de solitude pour rejoindre le très coloré marché de Byron Bay, situé à une petite centaine de mètres du camping. J’ai pris pour vous quelques clichés de tous ces petits stands. A noter les spécialités locales : le miel de noix de macadamia (cultivées à quelques kilomètres à l’intérieur des terres, au cœur des magnifiques collines de la Rain Forest) et le jus de canne à sucre (pressé devant le client) au gingembre. J’ai pu aussi faire connaissance du français Jean Gilles, vendeur de pralines ambulant (ça fera un petit œuf de Pâques pour Diane), qui s’est offert la chance de vivre à Byron Bay. Une petite photo lui est consacrée. J’aurais pu me croire sur le port de Bandol ou Sanary à déguster ces pralines vanille et cannelle. Pour ce qui concerne notre quotidien actuel : il est très simple, nous débutons la journée par une petite demi-heure de ménage de la cuisine du camping, suivie à midi du nettoyage des poubelles (une heure maximum). Ensuite plage, souvent en compagnie de nos ex-colocataires, qui nous invitent d’ailleurs régulièrement à dîner :). Je vais dès que possible poster un nouvel album photo pour vous montrer tout ça. Exception à la règle, nous avons passé la soirée avec Michelle, une anglaise qui travaillent avec nous. Elle cherchait quelqu’un avec qui célébrer les 500$ gagnés quelques heures plus tôt au casino de Byron Bay. A noter qu’en Australie, les machines à sous se trouvent dans des pubs et non dans de « vrais » casinos. Malgré nos protestations les plus vives (nous n’aimons pas franchement profiter), nous avons été invités au restaurant, précédé et suivi de bières. Nous n’avions pas aussi bien mangé depuis trois mois !! Juste une réflexion en passant, (Michelle étant elle aussi homosexuelle) , nous rencontrons beaucoup plus de gais qu’en France. Cet état n’est il donc réservé qu’à certaines catégories sociales ? Sinon, par quels subtils trucages est-il dissimulé autour de nous, en France ? Peu importe la réponse d’ailleurs, le fait est qu’être confrontés à la « diversité» sociale, religieuse, sexuelle, ne peut nous être que bénéfique. Tant qu’à être hors sujet, je profite de ce post pour féliciter le nouveau maire de Saint Cyr, qui n’aura que peu de mal à trouver ses marques. Bravo Philippe !! Voilà, toutes ces précisions faîtes, je pense que vous saisissez mieux notre petit quotidien de cleaners expatriés au pays des kangourous.
20 mars 2008

Byron Bay: les prolongations

Housekeeping, computer and appliance needs, gardening, painting, babysitting, …

So many things to do!

Would you like some help by honest, reliable and punctual people?

We are an experienced French couple (25 years old, Working Holiday visas), loving being in Byron Bay, and would like to find casual jobs.

Our phone number: 0416932182

You can also contact us by email: Manufrizac@hotmail.com

Diane and Emmanuel

See you soon !!

Voilà l’introduction que nous avons trouvée pour le post d’aujourd’hui. Il s’agit de l’annonce que nous apprêtons à diffuser pour essayer de faire quelques extras. Voici ce qui nous a amené à la rédiger.

Après avoir quitté la maison de Raeleen, nous pensions partir à Brisbane. Une nuit passée sur un parking de plage (évidemment pas la meilleure place) et nous sommes réveillé par un Ranger viril. « You have 10 seconds to leave !! ». Nous nous sommes gentiment exécutés et pour aller prendre le petit déjeuner sur un autre parking. Ne vous fiez pas au nom, un parking à Byron Bay peut constituer un lieu très accueillant, voir même agréable.

Bref, alors que nous entamions une petite journée de réflexion intense : « Qu’allons nous faire ? Monter à Brisbane, en profitant d’une vielle invitation offerte par Gavin, ex colocataire de Brisbane, ou rester une nuit de plus à Byron Bay », nous avons l’idée de demander à une personne travaillant à tondre la pelouse d’un motel du centre ville (le Bay Motel, ça s’invente pas), s’il n’a pas un job pour nous. Une séance de recrutement était organisée deux jours plus tard pour devenir Cleaner (femme de ménage) !! Rendez-vous compte de l’opportunité fantastique, qui d’un coup s’offrait à nous (c’est pas ironique). Tout excités, nous décidâmes de nous installer au camping de Clarks beach, tout en profitant de l’occasion pour proposer nos services à l’énorme réceptionniste difforme, en vain.

Bref, l’entretien avec le patron du Bay Motel (et de 4 autres établissements à Byron) a débouché sur une offre intéressante : nous faisons des petits travaux pour un camping de Byron en échange d’un campsite gratuit (valeur 35$ par jour). Bon le job consiste à nettoyer la cuisine le matin et les poubelles en fin de matinée. Pas la mer à boire… Nous attendons donc un appel du responsable pour aller s’y installer demain. Nous verrons bien, nous poursuivons d’autres pistes intéressantes.

Mise à jour du 18 mars. Nous sommes installés dans notre campsite. Bâche, tente, table, glacière, tout y est. Après un réveil à 6h45, nous effectuons notre labeur matinal dans la presque bonne humeur. Nous y rencontrons une anglaise, ici depuis 3 semaines pour le même type d’offre. Elle nous informe du salaire offert pour les extras, sur lesquels nous comptions : 6$ de l’heure, soit 3,6€. Nous voulions aller en Thaïlande ? Et bien je crois que nous avons un avant goût du tiers monde!! Il ne nous faudra pas compter sur ces extras sous payés. Notre ex-colocataire a trouvé un poste de cleaner dans une résidence : 58$ pour le nettoyage d’un studio (compter 2h30), ce n’est pas si mal. C’est même plutôt bien…

Nous proposons donc notre candidature aux nombreux motels et résidences environnant. Peut être cela débouchera-t-il sur une offre plus intéressante. Pour le moment, nous ne vivons que pour quelques dollars par jour, donc tout va bien, en attendant le coup de fil qui nous aidera à améliorer notre quotidien.

Pour ce qui concerne les photos, nous avons mis en ligne un album sur byron Bay (Byron Bay suite et fin) et un second (Clarks Beach camping et Gleen Resort). Dans le premier se trouvent des photos datant de notre colocation (snif), des parties de pêche avec Tim, une séance de plage avec Anne. Vous pouvez voir dans le second la magnifique cuisine au bord de la plage du camping où nous avons passé quelques jours, un couple américano-belge, rencontré là-bas (22 et 51 ans) et notre ancienne chambre (aucun rapport) chez Raeleen.

Je vous laisse les découvrir, bien que les clichés soient moins spectaculaires qu’à l’accoutumée.

6 mars 2008

15 jours de plus à Byron

Aujourd’hui nous avons tenté de changer de billet d’avion. Petit retour en arrière: nous avons fait la tragique erreur de nous adresser à « un petit commerçant » : l’agence de voyage de Bandol. A l’heure où les sites internet constituent la solution la plus évidente (d’ailleurs le groupe a une boutique en ligne, très classe de cannibaliser ses adhérents), nous avons cherché les problèmes en l’incompétence locale. Elle nous a attribué une date de retour au pif, au lieu de nous fournir un billet « open » comme demandé initialement. Elle ne nous a pas non plus suggéré de faire une escale à Bangkok, alors que nous y passions. Evidemment, nous aurions pu y penser seuls, mais qui est censée être la professionnelle ?

 

Nous voici donc aujourd’hui avec une terrible envie de faire un tour en Thaïlande, nous appelons donc Bristish Airways (où la qualité des repas est à la hauteur de la réputation culinaire de leur pays d’origine) et surprise : 750€ pour effectuer le changement. 750€ !! On ne voulait pas acheter l’avion, mais seulement deux malheureuses places, au milieu d’autres touristes, avides de faire fonctionner à plein régime le tourisme sexuel.

 

Bref, sachez Madame, que l’incompétence tue dans le milieu des affaires… Ne vous étonnez pas de voir votre boutique (minablement décorée de posters décolorés d’îles paradisiaques) se vider, à mesure que les réservations on line explosent. Oh, bien sûr, nous vous avons contactée, pour nous entendre dire que nous étions trop loin et que ce serait compliqué pour vous. Mais ça l’aurait probablement été moins que les procédures de dépôt de bilan que je vous souhaite aujourd’hui !! « C’est pas bien de dénigrer une marque », « diffuser des propos racoleurs (merci) et diffamatoires font encourir à leur auteur une poursuite judiciaire »… Je m’en contrefous !!

 

Madame, vous ne vendez pas des baguettes de pains, mais des tranches de vie, à des gens qui sont souvent contraints d’économiser sur leur consommation de Ricard (Paul, si tu nous entends…) pour polluer encore un peu plus l’espace aérien, tenter de contracter un mélanome, tout en tutoyant la misère du tiers Monde (c’est moins cher quand les gens sont pauvres).

 

Nous allons donc aujourd’hui même, contacter la tête de votre réseau (au demeurant, mondialement inconnu), afin d’en extraire le peu de compétences et de savoir-faire commercial qui doivent encore leur rester. Nous vous tiendrons, chers lecteurs, au courant de l’avancement de l’affaire. Evidemment, nos préoccupations égoïstes paraitront déplacées à tous ceux qui souffrent de malnutrition ou de maladies… C’est vrai, mais la roue tourne, voilà pourquoi nous voulons profiter tranquillement de notre voyage, sans devoir vendre un rein pour changer ce foutu billet.

 

Pour conclure, nous sommes encore dans le flou quant à la suite du voyage (rester à Byron ? Partir dans le Nord ? Essayer de trouver un billet moins cher ?)… mais je suis sûr que tout se déroulera parfaitement comme depuis le début du voyage. Le seul moyen de respecter un plan de voyage est de ne pas en faire… Aussi continuerons nous à improviser comme nous l’avons fait jusque là. Nous verrons bien. D’ici là, nous avons habilement mené Raeleen à reconsidérer la qualité de la peinture de son entrée. Qui sait, peut être aurons nous une autre semaine gratuite ?

Quoiqu’il en soit, dès qu’une solution viable se présente à nous, nous vous tiendrons au courant. Merci à tous pour vos commentaires sur notre dernier post !!

 

Avant de conclure définitivement (qu’est ce qu’on s’ennuie quand le temps est moyen), je voudrais revenir sur Desproges. J’ai bien compris que l’accueil réservé à la définition de l’alunissage était plutôt tiède. En toute logique, je vais en remettre une couche avec une seconde définition mais cette fois de nom propre. Voici sans plus attendre (pour ceux qui ne sont pas déjà partis faire autre chose), la déinition de Cannes.

 

Bon, petite mise à jour pour éclaircir notre situation actuelle et future. Des deux horizons, seul le long terme est défini : nous restons en Australie jusqu’au 5 mai, date initiale de départ. En effet, l’escale en Thaïlande est vraiment trop onéreuse (1000 dollars) et un retour anticipé de deux semaines en France (donc sans escale) nous coûterait 300€. Voilà, nous pensons donc monter à Cairns durant les deux mois qu’il nous reste.

Par contre à court terme, nous partons pour une semaine supplémentaire dans la peinture. Raeleen nous a de nouveau proposé de peindre quelques pièces (chambres, 2 salles de bain et un corridor, ouf!) pour nous faire économiser une semaine de location (250$).

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25 février 2008

Byron Bay... avant de partir :(

Nous avons profité des quelques jours de beau temps, dont aujourd’hui où le soleil était incroyable. Une pêche miraculeuse s’est même produite quelques minutes avant notre retour à la maison. Nous avons pris notre plus grosse bream et deux Darts. Ce qui nous fait au mois 3 repas de poisson d’avance. Car depuis notre arrivée, nous mangeons du poisson un jour sur deux !! Nous nous sommes donc mis à la healthy and organic food. Tout arrive…

Une petite mise à jour est en train d'être effectuée sur l'album photo, vous pourrez admirer différentes vues de Byron et de son phare (point culminant), ainsi que quelques photos prises sur la plage.

Bonne journée à tous...

17 février 2008

Arrivée à Byron Bay

Avant-hier avait lieu notre dernière soirée dans la maison de Brisbane. Evidemment, une nouvelle coloc emménage le jour même. Nous partons donc au moment où cela devient intéressant... Notre dernière soirée nous aura tout de même permis d’échanger avec de vrais australiens et de faire un peu la fête. Nous apprenons d’ailleurs que Chantal, 18 ans, fille de mormons, s’est faite littéralement virée de la maison par ses parents. En effet, elle a osé prendre des apéros et avoir un petit copain. Rendez-vous compte !! C’est scandaleux, elle qui avait reçu une bonne petite éducation mormone, la voilà qui donne le mauvais exemple à ses petits frères. Maintenant, grâce à ses parents, elle peut vendre des donuts en centre ville au lieu de faire des études. Quel exemple d’éducation. Intégrisme, quand tu nous tiens… Passons. Cette expérience de colocation se termine donc par une excellente soirée et de bons souvenirs. Aujourd’hui, ca y est, nous sommes à Bryon Bay. Hier, après 2h de route pour descendre de Brisbane, nous avons établi les premiers contacts avec notre nouvelle collocation. Premières impressions… La maison est plus petite, tout comme notre chambre mais l’environnement qu’offre Byron Bay le fait bien vite oublier, d’autant que la maison est aménagée avec beaucoup de goût. Toute la ville est noyée sous une végétation luxuriante, dont nous ferons bien sûr quelques clichés. Ici, tout  n’est que vert et bleu ; l’océan et la nature sont vraiment les trésors de cette région. Bien sûr nous espérions trouver un climat plus propice à nos activités estivales, mais la pluie sévit encore et encore. Quel dommage, bien qu’on s’y soit peu à peu accommodés. Quand on pense, que sur les hauteurs de Brisbane, il n’avait pas plu pendant 580 jours !! Une petite photo vous illustrera le caractère exceptionnel de la pluie en cette saison. « Thanks to God for the rain », question de point de vue. Retour à la coloc. Nous sommes donc 5 pour l’instant. Peter (le londonien), Matina (la coiffeuse), and Raeleen (la proprio-masseuse). A Bryon Bay, tout n’est qu’art de vivre (au sens sain du terme, je ne parle pas de vin et de cassoulet) et bien être : Feel healthy and eat organic. Traduisez, beaucoup de salons de massage, de décoration zen et boutiques végétariennes. Ca nous évoque un peu le rêve inavoué de beaucoup de ces parisiens, tout heureux de dépenser chaque semaine 150€ en spa pour échapper quelques instants à la pollution digne de Mexico… Vous vous demandez pourquoi je tappe toujours sur les parisiens ? Pour leur réputation de personnes prétentieuse, qui suit chaque français jusqu’à l’autre bout de la Terre ? Je ne sais pas… Mais peut être à cause des réflexions multiples d’une couple parisien dans un TER bondé cet été. « Et il n’y a pas de place dans ce train ( alors qu’ils encombraient le train d’une énorme poussette) ! », « Et qu’il fait chaud ici »,  « Tu vois, je t’avais dit, la province c’est ça, c’est des paysans… ». Voilà, chers amis parisiens, vous prenez pour ce couple qui m’a imposé à mes petites oreilles provençales, leurs réflexions déplacées et insultantes, pendant 45 minutes. Je précise à la famille de Diane, qu’il n’est pas utile d’avoir honte d’elle, ces propos n’engagent que moi. Peu importe, il s’agit vraiment d’une ville magnifique, finalement assez proche du paradis sur Terre. C’est d’ailleurs ce que nous cherchions : du soleil (raté pour l’instant), des vagues, un peu de verdure subtropicale et une ambiance détendue. J’en profite d’ailleurs pour conseiller au petit chercheur d’informations (finalement nous l’avons baptisé Corentin, bienvenue à toi Corentin) la colocation. Il s’agit vraiment du moyen idéal pour progresser en anglais (même en couple, si Corentine t’accompagne). Evidemment, la vie y est un peu plus chère qu’en camping, mais les progrès en expression et compréhension ne se font pas attendre. Donc, à ce jour nous ne considérons vraiment pas la colocation comme une perte sèche (surtout avec ce temps hi hi !). Voilà la parenthèse sur les bienfaits de la coloc est close. Les sessions de Bodyboard et de pêche dans les vagues vont pouvoir reprendre dès aujourd’hui. Nous pensons même pouvoir enfin louer un surf, pour essayer. Le ridicule ne tue pas? Nous allons voir ça. Il est utile de préciser qu’au-delà de Brisbane ou presque, il n’y a plus de vagues. Les innombrables îles, puis la barrière de corail constitue un efficace rempart à l’océan. Il s’agit donc de notre dernière escale avant de nous retrouver sur des plages un peu différentes : sans vagues et gorgées de méduses mortelles. Mais nous aborderons ce sujet plus tard. Cette précision permet de comprendre notre soif de vagues et d’océan… En tous cas, je vous souhaite à tous une excellente journée sur le timide soleil hivernal.

12 février 2008

La suite.... tout de suite !

 Conscients que la lecture de notre blog représente un divertissement essentiel pour bon nombre d’entre nous (la modestie nous étouffe), nous nous décidons de poursuivre le récit de nos aventures urbaines.

En réalité, la pause que nous nous sommes accordés n’est pas imputable à l’absence d’internet, comme à l’accoutumée, mais davantage au manque d’aventure. En effet, point de camping sauvage au milieu de la rain forest ou de pêche miraculeuse sur une plage semi paradisiaque. Nous avons passé une semaine très calme, essayant de saisir au mieux les opportunités d’échanger avec nos colocataires. C’était d’ailleurs notre objectif : parler anglais. Ce soir nous avons même réussi à parler hypnose et programmation neurolinguistique (coucou Mimie), avec Kevin, apprenti coach de son état. Pas de chance pour moi qui rêve depuis toujours d’être hypnotisé, la barrière de la langue étant fatale à ce périlleux exercice. Je ne vais donc pas  m’exhiber en train de faire la poule sur la route ou nager sur la moquette. Peut-être une prochaine fois…

Bref, la coloc n’était pas chère, nous avions une maison sympa (photos évidement disponibles sur l’album) et ne regrettons donc rien. Pas même la maison à Byron Bay, qui nous était passée sous le nez, la veille de notre arrivée ici. Et oui, car le mail que nous avions alors envoyé à Raeleen (la coloc en chef de cette maison) nous est revenu il y a deux jours : une chambre est libre.

Nous voici donc repartis (enfin dans 3 jours) à Byron Bay. Nous prenons notre bonheur en patience et recherchons activement un professeur d’anglais qui saura nous donner quelques leçons, que nous espérons bon marché mais efficaces. Nous allons d’ici là poursuivre nos parties de pêche, en répondant inlassablement aux passants, souriants, friendly mais décidement curieux, que nous prenons «yeah, just some small breams ! thanks » (traduisez approximativement : « Les dieux de la pêche nous sont aujourd’hui favorables et nous réjouissent de la capture de moult poissons ! Nous vous remercions de la délicieuse affabilité dont vous faîtes preuve à notre égard »).

Je crois remarquer au passage que des mots anglais se glissent peu à peu dans mon vocabulaire… Venant d’une autre personne, je trouverais ça irritating , pas vous ?

Voilà donc pour ces maigres nouvelles, dont je vous prie d’excuser l’extrême fadeur, mais après tout, la vie que l’on raconte ici doit-elle être nécessairement palpitante ?  Nous ne voudrions pas donner l’impression de romancer et simuler l’exaltation procurée par ce périple…

Une dernière chose avant de conclure !! L’idée m’est venue de vous présenter en fin de chaque post, l’extrait d’une œuvre qui m’est chère (ou m’aiguaye, comprendra qui pourra, sinon lire à haute voix) : « Le dictionnaire superflu à l’usage des l’élite et des bien nantis ». Présenté comme le plus petit dictionnaire au Monde (saluons la performance), il s’agit certainement de l’œuvre la plus invraisemblable de Pierre Desproges.

Les définitions des 52 noms communs et propres de cet ouvrage, sont le fruit de la plus étroite collaboration avec les grandes instances morales, religieuses et politiques (présentes dans le bureau de l’auteur, au moment de sa rédaction). Je vous en garantie donc le plus grand sérieux et le respect de tous et de toute chose.

Mais, avant de vous livrer la première lettre de cette petite merveille inconvenante, je souhaite répondre à une question, à la question, que j’imagine embusquée derrière son écran plat. « Quel rapport avec Koalaventure ? » Evidemment aucun… si ce n’est de vous divertir,  cher visiteur (même toi, l’internaute inconnu, petit chercheur de renseignements sur l’Australie), vous qui avez laborieusement dactylographié les 37 caractères de l’interminable adresse  de notre blog.
Cet extrait est donc un peu la pièce de 10frs, que l’on ramasse à terre, souriant, avant de rentrer chez soi, s’en allant d’un enterrement. Il doit permettre de partir sur une note agréable.

Une ultime précision, « Le dictionnaire superflu à l’usage des l’élite et des bien nantis » (s’y reconnaîtra qui voudra) fut écrit en 1985. Le lecteur passionné se laissera donc transporter au siècle passé et profitera d’autant mieux de ce petit moment de fantaisie académique.

 

« Alunissage

n.m., du latin luna, la lune, et du préfixe a, très joli également.

Procédé technique consistant à déposer des imbéciles sur un rêve enfantin.

Les accessoires utiles à l’alunissage, outre les imbéciles, sont :

 1. La fusée, sorte de véhicule autopropulsé comportant de nombreux aménagements sophistiqués.

 2. La terre, pour partir.

 3. La lune, pour témoin.

 

Fin 1984, on évaluait à un, environ, le nombre des alunissages. L’Union soviétique, pourtant surdéveloppée techniquement puisqu’on y produit en moyenne chaque année une chaussure de pointure 42 et une bombe thermonucléaire par habitant, n’a jamais procédé au moindre alunissage. Il faut voir, dans cette attitude antiscientifique de l’URSS, une volonté de respecter les rêves des enfants, qui ne manquera pas de surprendre, venant d’un pays dont le but idéologique avoué est d’établir une société comprenant plus de censeurs que de censurés, sans brûler les juifs. »

 

Voilà pour cette première définition. J’espère qu’elle vous fera autant rire que les cinquante premières fois où je l’ai lue (en tant que citoyen occidental de l’ère post communiste évidemment, tout cela étant question de point de vue). Je tiens cependant à m’excuser par avance du kazakh francophone qui lira cela. Mais après tout, y en a-t-il un? Si c’est le cas… je n’ai pas de monnaie désolé.

2 février 2008

S'installer 15 jours à Brisbane, pourquoi pas?

 

Nous voici aujourd’hui officiellement… colocataires !! En effet, nous avons trouvé hier dans la journée, une colocation dans la proche banlieue de Brisbane. Nous voici donc résidents du 49 Daisy Street, partageant avec deux australiens, une maison d’environ 200 m². En fait, nous ne connaissons pas la surface, qui convenons-en importe peu. Toujours est-il que la maison a cinq chambres, deux salles de bain, deux salons et maintenant 4 locataires, le tout réparti sur deux niveaux. Nous récupérons donc le premier étage, dans lequel se trouve la cuisine et notre salle de bain (privative, s’il vous plaît).

Nous sommes donc là pour 2 semaines, si nous décidons effectivement de rester (le versement de la caution ne se faisant que lundi). Et oui, encore une formalité largement accélérée en comparaison de la France. Encore un petit bonjour à la régie Gestrim-Lamy de Lyon, qui a exigé des bulletins de salaire sur 5 générations, moult sollicitations extérieures (merci Sabine, si tu nous lis)  et nous a fait poiroter un mois et demi avant de confier les clés d’un T1 Bis. Ici, un mail (aller retour), un rdv, une visite de dix minutes et une avance de 80$. Et c’est bon, nous voici Brisbaners. Comme nous l’avions précédemment précisé, notre intention est ici de parler d’avantage anglais et se poser un peu (ah! le confort d’une maison…). Aussitôt installés, nous profitons du jardin pour un premier apéro, en attendant les locataires, qui ont la surprise de nous trouver en rentrant du boulot. Premier contact mitigé avec le premier, jeune homme maquilleur efféminé (pléonasme ?), un peu « sauvage » mais sympathique tout de même. Le second s’est avéré plus entreprenant. Ainsi alors qu’il descendait en une petite heure un pack de bière, il nous a raconté qu’il s’occupait à mi-temps d’une personne malade, tout en faisant d’autres jobs.

Il vient d’ailleurs  à l’instant de nous préciser que nous ne devions pas laisser de nourriture dans la cuisine, car des opossums la visitaient régulièrement. Voilà, qui nous change du camping :)  
Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu’est un opossum, c’est un petit marsupial (il a donc une poche ventrale : encore un backpacker clandestin) sortant la nuit trouver suffisamment de nourriture pour dormir toute la journée suivante et ainsi de suite. Pour les plus curieux, une rapide recherche sur google vous permettra de découvrir une photo de ce petit animal à la vie pour le moins « passionnante ».  

Fait intéressant, avant de conclure, lorsqu’il se sent en danger, l’opossum fait le mort (la fuite du faignant) et son corps sécrète une odeur immonde pour faire fuir son adversaire. Heureusement lorsque, attendris par ce petit mammifère, nous les regardions nous piller tranquillement, aucun d’eux ne s’est senti menacé.  Bref…

Si la journée d’aujourd’hui nous a permis de prendre un peu de repos, nous n’avons que peu d’idées sur nos activités des quinze prochains jours. Nous vous tiendrons donc informés de l’avancée du dossier et de notre vie de colocataires.  

30 janvier 2008

Brisbane

Nous sommes depuis hier à Brisbane. Comme nous nous y attendions, il s’agit d’une très belle ville. Mais pour commencer par le commencement, nous avons posé une première fois notre sac à dos (et notre énorme break de 2 tonnes) dans le « Aussie Way », un backpacker situé sur les hauteurs de Brisbane. Première impression mitigée et pourtant, nous profitons d’un avant goût de la colocation. Nous sommes 6 dans une petite maison, avec cuisine, salle de bain et piscine communes. Puisque nous parlons de colocation, nous réfléchissons en ce moment même à nous arrêter quelques semaines à Brisbane (ou Bundaberg que nous aurons l’occasion de visiter plus haut sur la côte). L’objectif est de rapidement progresser en anglais, rencontrer des gens et profiter plus pleinement d’un endroit sympathique. Le camping serait alors mis entre parenthèses pour quelques temps. Pour ceux qui se poseraient la question, nous ne nous en sommes pas lassés, bien au contraire. Mais, nous avions initialement prévu une étape en collocation, alors pourquoi ne pas débuter ces jours prochains… Quoiqu’il en soit nous sommes en pleine recherche. Une chose est sûre, nous préférons une maison avec jardin (trouvable dans le coin) à un appartement (tant pis pour les saunas, très répandus) en centre ville.

Bref, je m’égare… Revenons à Brisbane, nous avons ce matin changé de Backpacker pour venir au Brisbane City Backpacker (pas mal du tout). Nous sommes partis toute l’après midi en excursion dans le centre ville, qui avouons-le, est tout simplement excellent !! Nous avons pu voir le classique Royal Botanic Garden, moins impressionnant que celui de Sydney, mais avec un climat tropical, le résultat est remarquable. Dépaysant, même pour nous qui avons vu beaucoup plus sauvage. Nous avons pu constater, même si c’est évident, à quel point l’ancienneté des villes françaises était contraignante dans l’aménagement du territoire. Brisbane et ses quelques dizaines d’années d’ancienneté (Un siècle et demi en réalité) a su implanter des parcs et comble du luxe pour une ville fluviale, (Nous sommes à quelques kilomètres de l’Océan) la Brisbane Beach. Et là, je m’adresse aux parisiens prétentieux qui se trouvent malins avec Paris Plage (ses bouts de verre, ses crottes de chiens et ses seringues). Brisbane Beach est vraiment un petit coin de paradis au milieu de la city, ou presque. Vous trouverez bien sûr des photos dans l’album « Brisbane » (le bien nommé) sur Picasa. Toutes les photos proviennent du centre ville, bien qu’on pourrait en douter en les voyant (je parle de l’espace où la Rain Forest est reconstituée).

Pour conclure, belle ballade dans cette ville probablement très agréable à habiter… Nous verrons pour la suite.

 

Je vais m’égarer une fois de plus pour vous raconter ces derniers jours. Nous nous sommes quittés à Canungra, dans un camping communal. Au programme, pêche, baignade, sauts dans la rivière, ballade… Nous avons ensuite passé deux nuits dans deux campings différents, évidemment en bordure de rivière (pour la pêche, pourtant peu fructueuse). Rien de bien passionnant à raconter, si ce n’est que nous avons assisté à la fête nationale australienne. Le contraste est saisissant ; Alors qu’en France le 14 juillet n’est qu’un prétexte dépenser les impôts locaux en feu d’artifice, dans l’espoir d’attirer quelques touristes en marcel et sandales, et contenter la mafia des commerçants locaux et leur poids lors des élections. En Australie, la fête nationale est l’occasion de voir fleurir les drapeaux (nous en avons même acheté un) et boire une petite bière dans un camping avec la petite famille. Décrit comme ça, le contraste n’est pas si saisissant que ça, mais en réalité, ils aiment vraiment leur pays et ça fait plaisir à voir.

Pour conclure, nous vous embrassons tous (même toi, qui ne nous connais et cherches juste des renseignements sur l’Australie avant d’y partir)…

Vous trouverez trois nouveaux dossiers sur l’album photo, « Brisbane », « Rain Forest » et « Escapade rurale ». Nos espérons que les photos vous plairont.


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